Jeudi 18 mars, un jeune étudiant en médecine de 24 ans a trouvé la mort dans son appartement à Nantes. Des sources familiales informent d’une santé et d’un rythme de vie sain chez le jeune homme qui venait de recevoir 10 jours auparavant, une dose du vaccin AstraZeneca. Selon le rapport d’autopsie, la mort serait due à une hémorragie interne causée par thrombose (obstruction d'une veine par un caillot sanguin). Des rapprochements évidents se font, cela fait déjà plusieurs semaines que nombre de pays européens ont arrêté d'administrer le vaccin, suite à des décès par thrombose.
Néanmoins, des recherches approfondies ont actuellement lieu, pour s'assurer d'un lien avéré entre la dose d’AstraZeneca et la mort soudaine de l'étudiant.
À partir de lundi 03-08-2020, le préfet de la Mayenne imposera le port obligatoire du masque (tous les lieux publics) dans 69 communes du département qui en compte 261. Cette décision, témoigne de la tension qui réside dans le département depuis maintenant 2 semaines (indicateurs). Par ailleurs, certains experts s'accordent sur la nécessité de reconfiner le secteur dans lequel circule activement le virus. Le but étant de limiter la propagation vers d'autres territoires de la métropole, car, la politique de détection et d'isolement mise en place par l'ARS ne ferait plus le poids face à la vitesse de circulation du virus. À rappeler qu'à date Mayenne compterait plus de 15 clusters.
Selon les indicateurs du gouvernement, la Mayenne semble vers une situation critique, avec une hausse journalière du nombre de cas et d'hospitalisations depuis une dizaine de jours. À noter, cependant que, le département comptabilise environ 68 lits en réanimations dont seulement 2 sont occupés pour le moment. Ci-joint la répartition des lits de réanimations dans les hôpitaux publics :
On observe désormais, depuis 5 jours la stabilisation des nouveaux entrants en réanimation dans la région, avec même d'une baisse hier, le 7 avril 2020. Néanmoins, la prudence reste de rigueur, car paradoxalement, une progression lente, mais bien déterminé du nombre de nouveaux cas reste toujours visible. La même dynamique est observée au niveau du nombre de décès. Malgré tout ce bilan reste assez positif pour les Pays de la Loire.
Les Pays de la Loire enregistre, ce jeudi 26 mars, 31 morts sur son territoire :
- 24 décès à l'hôpital ;
- 7 décès en EHPAD.
Par ailleurs, le nombre de nouveaux cas détectés est lui aussi en plein essor, 459 cas avec un pique ce jour de + 80 nouveaux cas. Le virus continue donc sa progression dans la région, aussi, 67 établissements médico-sociaux, dont 52 EHPAD seraient touchés par le virus.
Une montée rapide en nombre de décès, 10 au total, qui témoigne de la situation très précaire de la région. En effet, les Pays de la Loire, même si épargnée jusque-là par rapport aux autres régions, se rapproche dangereusement du seuil épidémique (10 cas pour 100000 habitants) avec ces 293 cas confirmés ce lundi.
Deux nouveaux décès, ce mercredi dans le Pays de la Loire. Un décès au CHU d'Angers et un décès au CHU de Nantes. Aucune information supplémentaire sur les défunts n'est disponible à date.
Infos supplémentaires : la victime du CHU de Nantes était une femme de 95 ans.
En ce mardi 17 mars 2020, les Pays de la Loire enregistrent leur premier mort du coronavirus. Il s'agirait d'un homme de 91 ans mort au CHU d'Angers. Un habitant du Maine-et-Loire était décédés précédemment, mais il n'avait finalement pas été comptabilisé pour la région. Ceci marque donc un tournant quant à la propagation du virus dans la région, jusque-là épargnée.
Les Pays de la Loire, semblent être l'une des seules régions ou la progression du virus semble ralentir à l'image du graphique d'évolution des cas. Avec 17 nouveaux cas par rapport à la veille, voici en graphique la répartition par département des cas :
Voici en graphique la répartition des 82 cas confirmés par département, soit 26 nouveaux cas par rapport à la veille :
Répartition du nombre de cas par département:
Le 10 mars 2020, 2 nouveaux cas de coronavirus sont diagnostiqués par rapport à la veille. Désormais, le département contient 28 cas confirmés dont 4 guérisons depuis le début de l'épidémie.
1 nouveau contaminé en Loire-Atlantique.
Une élève en Maine-et-Loire du Lycée Sadi-Carnot contaminé.
Une contamination dans le collège privé de Notre-Dame-du-Bretonnais à Cholet.
2 en Sarthe.
2 en Loire Atlantique.
Total de 25.
4 personnes de la Loire Atlantique soignés au CHU de Nantes.
1 femme medecin originaire de l'Oise.
1 cas dans la Sarthe.
Total de 19.
1 homme de 44 ans résidant en Loire-Atlantique (CHU de Nantes).
1 femme de 57 ans résidant en Maine-et-Loire (CHU d'Angers).
1 femme de 46 ans et 1 enfant de 14 ans résidants en Sarthe.
1 homme de 49 ans résidant en Vendée.
8e cas des pays de la Loire cet homme de 58 ans hospitalisé au CHU de Nantes semble présenter un état de santé stable.
Un homme de 60 ans revenant de Lombardie (Italie).
Le 2e avait séjourné dans le Morbihan (un des clusters Français), âge 50 ans.